La Lehrgeschwader 1 engagée en Méditerranée dès le début de 1941 face aux forces britanniques s’était très vite fait respecter par ses opposants (qu’ils aient été de la Navy ou de l’armée de terre), ayant gagné lors de ces sanglants combats le redoutable surnom de ‘Helbig’s flyers’ (selon le nom d’un de ses meilleurs officiers). Mais, en septembre 1942, le III./LG 1détaché ‘temporairement’ en URSS et dès lors coupé du reste de l’escadre, fut redésigné III./KG 6. Le I./KG 55, volant également sur Ju 88, devint ainsi le nouveau III./LG 1. Si ce Gruppe fut dissous en mai 1944, les I. et II./LG 1 combattirent pour leur part jusqu’à la fin de la guerre, quittant l’Italie pour être engagés sur la Normandie au moment du Débarquement de juin 1944 puis sur le Reich tant à l’ouest (Bataille des Ardennes) qu’à l’est (face au rouleau compresseur soviétique). Les reliquats de la LG 1 ne furent dissous de facto qu’au début du mois de mai 1945. Durant toute cette période de guerre, l’escadre vola principalement sur divers types de Ju 88 (A-5, A-4, A-14, S-3). Alors que d’autres Kampfgeschwader furent équipées d’appareils plus modernes (Ju 188 ou Do 217), la LG 1 combattit jusqu’au bout sur des avions que l’on pourrait taxer de dépassés. Mais, tandis que les autres KG furent dissoutes ou passèrent sur chasseurs, la Lehrgeschwader 1 fut une des très rares unités de la Luftwaffe à traverser les quelque six années de guerre en tant que pure unité de bombardement.
Un ouvrage de 288 pages illustré de 600 photos et 29 profils en couleur de la main de Thierry Dekker. Dans ce Tome II figurent de nombreuses annexes (les pertes de l’unité ainsi que des listes des appareils, des aviateurs et des officiers ayant mené les groupes et les escadrilles).
On en parle sur le net et dans la Presse :
- Ce pavé de 290 pages environ fait suite au premier tome sur la LG 1 afin d'étudier l'unité entre mai 1942 et la fin de la guerre.
Nous pouvons suivre tour à tour les opérations en Afrique jusqu'au départ de l'escadre au griffon en 43 avant d'envahir la Sicile et de repartir en Italie puis en France et enfin en Allemagne pour défendre un Reich agonisant.
Cet ouvrage est agrémenté d'environ 600 photos et parfaitement enrichi de 29 superbes profils de Thierry Dekker, source d'inspiration pour les maquettistes.
Les photos montrent d'intéressants détails sur l'armement ou des versions spécifiques comme les Mistel en fin de guerre ainsi que des scènes de la vie de l'unité.
Le texte est très précis sur les opérations effectuées par la LG1.
Même si cette unité n'était pas équipé d'avions de chasse, le Ju-88 reste un avion très prisé des maquettistes et ce tome (tout comme le précédent) devraient ravir nombre d'entre eux.
En fin d'ouvrage, les annexes traitent des pertes connues de l'unité, des numéros de série des appareils employés, des membres du personnel volant pendant toute la guerre, des membres médaillés de la Croix de fer et enfin des commandants d'unités.
Ces deux livres restent une source incontournable sur la LG1 ils sont vivement recommandé pour les amateurs du sujet. © Christophe Verdoux pour Master194 / Smal-tracks.org / Fighters.forumactif.com.
- Tout ce qui a été dit pour le premier volume (cf ci-dessus) peut être re-dit sur ce second : nombreux extraits de souvenirs de pilotes intégrés à un texte chronologique qui lui-même doit dériver d’un Journal de Marche d’unité.
Par contre, la variété très présente dans le premier volume a fait place ici au Ju 88 Super-star et surtout en Méditerranée de Tobrouk à la Grèce (mais aussi la Normandie et l’Europe du Nord sur la fin)! Mais avec des camouflages très variés : tachetés, à « méandres » , sable etc.. A noter que les méandres sont toujours interprétés comme étant en RLM 65 d’intrados (y compris dans les beaux profils de Th. Dekker), mais ce n’est pas toujours vrai : voir page 140, 154,155, 169.
Ici aussi un petit chapitre, voir même un simple encadré sur les camouflages eut été utile ! (parmi les bizarreries mentionnées mais pas illustrées: l’existence d’un Ju 88 immatriculé « L1+AMB » ! Confirmée par le témoignage du pilote.
A noter aussi une page consacrée au… Delanne 10C (page 117)
Egalement des témoignages sur ces membres d’équipages versés dans l’infanterie dans les dernières semaines de la guerre.
En annexe :
· une liste des pertes connues
· Une liste des appareils employés par la LG1
· une liste de tous les personnels volants identifiés étant passés par la LG1.
· Une liste des Ritterkreuzträger de la LG1
· Une liste des commandants d’escadre, de groupe et d’escadrillr
L’iconographie :
· plus de 500 photos noir et blanc : avions, pilotes, véhicules, aérodromes…
· 10 photos couleurs d’époque (plus quelques de photos modernes : tombes, excavation d’épaves).
· 30 profils couleurs.
En conclusion : ceux qui ont apprécié le premier volume, ne seront pas déçus par ce deuxième opus qui présente les même qualités de qualité de recherche, de facilité de lecture et d’iconographie. ..© JCC - MODELSTORIES.
- Le LG1, après ses combats en Afrique, se retrouva balloté, au gré des évènements, certaines parties du groupe étant même détachées à l’Est. Le Geschwader resta en Afrique jusqu’en 1943 avant de remonter par la Sicile, l’Italie, la France puis l’Allemagne pour combattre jusqu’à la fin. Ses personnels combattirent jusqu’à l’effondrement, sur tous les fronts dans les batailles essentielles comme le débarquement allié en juin 1944, les Ardennes lors de l’hiver, et les tentatives pour freiner l’avancée soviétique. Durant tous ces combats l’unité ne connut qu’un seul type d’appareil, le Junkers Ju-88 sous toutes ces versions, même s’il pouvait sembler dépassé à la fin du conflit.
La Lehrgeschwader 1, LG 1 est une unité particulière à plusieurs titres. Constituée, comme son nom l’indique, en tant qu’unité d’entraînement dès la renaissance de la Luftwaffe en 1933 elle participa activement aux campagnes victorieuses de la Wehrmacht avec un matériel disparate car dotée de He-111, Bf-110 et Ju-87 avant de se voir dotée de Ju-88. Elle restera équipée de cet appareil jusqu’à la fin du conflit.
Ce deuxième tome nous emmène tout au long de ces combats. Le premier traitait de la période des victoires, nous suivons là les défaites, jusqu’à l’effondrement.
Comme pour le premier volume, Peter Taghon nous livre un texte passionnant, très fouillé et documenté, d’une lecture très plaisante. L’iconographie est toujours aussi remarquable avec plus de 500 photos en noir et blanc et d’autres en couleur. Les superbes profils de Thierry Dekker sont évidemment un atout supplémentaire pour ce « pavé » de presque 300 pages !
En annexe figurent les listes des personnels, des commandants d’unités, des décorations attribuées, des pertes connues et des appareils utilisés.
Ce deuxième tome, impatiemment attendu, confirme l’impression du premier, et nous avons à présent près de 600 pages pour retracer l’histoire de cette unité particulière. A acquérir vite, il n’y aura pas mieux ! © J Luc Fouquet.
- La Lehrgeschwader 1 engagée en Méditerranée dès le début de 1941 face aux forces britanniques s’était très vite fait respecter par ses opposants (qu’ils aient été de la Navy ou de l’armée de terre), ayant gagné lors de ces sanglants combats le redoutable surnom de ‘Helbig’s flyers’ (selon le nom d’un de ses meilleurs officiers). Mais, en septembre 1942, le III. /LG 1détaché ‘temporairement’ en URSS et dès lors coupé du reste de l’escadre, fut redésigné III.
/KG 6. Le I. /KG 55, volant également sur Ju 88, devint ainsi le nouveau III. /LG 1. Si ce Gruppe fut dissous en mai 1944, les I. et II. /LG 1 combattirent pour leur part jusqu’à la fin de la guerre, quittant l’Italie pour être engagés sur la Normandie au moment du Débarquement de juin 1944 puis sur le Reich tant à l’ouest (Bataille des Ardennes) qu’à l’est (face au rouleau compresseur soviétique).
Les reliquats de la LG 1 ne furent dissous de facto qu’au début du mois de mai 1945. Durant toute cette période de guerre, l’escadre vola principalement sur divers types de Ju 88 (A-5, A-4, A-14, S-3). Alors que d’autres Kampfgeschwader furent équipées d’appareils plus modernes (Ju 188 ou Do 217), la LG 1 combattit jusqu’au bout sur des avions que l’on pourrait taxer de dépassés. Mais, tandis que les autres KG furent dissoutes ou passèrent sur chasseurs, la Lehrgeschwader 1 fut une des très rares unités de la Luftwaffe à traverser les quelque six années de guerre en tant que pure unité de bombardement.
Un ouvrage de 288 pages illustré de 600 photos et 29 profils en couleur de la main de Thierry Dekker. Dans ce Tome II figurent de nombreuses annexes (les pertes de l’unité ainsi que des listes des appareils, des aviateurs et des officiers ayant mené les groupes et les escadrilles).© EIPA-Confrontations
- Dans ce second tome de près de 300 pages, l’auteur poursuit l’explo-ration du journal de marche de laLehrgeschwader 1 créée par laLuftwaffe dès 1936, initialement pour l’instruction. Nous retrouvonsl’escadre en Afrique du Nord et en Méditerranée fin avril 1942, àTobrouk, puis à Alamein, Malte et dans les îles grecques au fil de campagnes coûteuses en hommes et en matériels, dont celle de Sicile à partir de mai 1943. L’unité est ensuite envoyée en Belgique, à Melsbroek, pour tenter de contenir l’avance alliée à la suite dudébarquement de Normandie. Confrontée à des problèmes logis-tiques de plus en plus importants, elle retrouve l’Allemagne et se bat sur les deux fronts, dans l’attente de l’inéluctable chute du Reich. Après les succès détaillés dans le premier volume, ce sont surtout les défaites qui s’enchaînent ici, dans une profusion d’informationsaccompagnées de photos assez inédites et de superbes profils signésThierry Dekker. Les annexes à elles seules justifient l’achat de l’ou-vrage, répertoriant les pertes connues, les avions en dotation parwerknummer, les effectifs de l’escadre, les récipiendaires des croix de fer et les chefs d’unités. SP288 pages, 510 photos N&B, profils, texte en français. © Sam Prétat - AIR FAN 474.